VINCENT CROTEAU
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I L seems well that Croteau of North America have an ancestor common fore-mentioned Vincent. Wire of Andre Croteau and Marguerite Sharecropper, Vincent was born on March 29, 1644, at St-Nicolas of the small borough of Weak-the-Pinks, not far from Saint-Valery-in-Caux, located in the district of Dieppe, current department of Seine-Maritime, in
Normandy.
Arrived about 1665 to News-France, it exerts the trade of shoe-maker.
In 1669, it melts a hearth with Jeanne Godequin, born about 1647, girl of Jacques Godequin and Jeanne Dupuis, originating in Amiens in Picardy.
The couple has three girls and seven wire, of which two concern us. The first, which is the fourth of the couple, Nicolas Croteau, born on January 29, 1671, at the St-Michel Coast and baptized the 1 er February, with Sillery. It husband with Catherine Mesney in 1709, girl of Étienne Mesney and have six children, of which Marie-Anne Croteau, born in 1719, who marries Jean-François Sévigny, in 1743, wire of the ancestor
Julien-Charles Sévigny and Marguerite Rognon
.
The second Croteau wire, which concerns us, ninth child of the family, Jacques Croteau, born about 1688. Jacques marries Marie-Charlotte
Dupont , in 1728 and have sixteen children, including twelve deceased in low age, the others, whose three wire and a girl melt of the families. It is the girl, Marie-Louise Croteau, born in 1733, who binds us to the parents with her marriage in 1750, with Pierre
Houde , known as Desruisseaux, wire of Jean-baptiste and Marie-Francoise
Demers .
The ancestor Vincent Croteau, very continuously to exert his trade of shoe-maker is a also farmer, which, to the 17 E century, means clearer, logger, ploughman and pit sawyer.
After having lived a score of years in Quebec or in his suburbs, Vincent crosses the St. Lawrence river with weapons and luggage to be established in the seigniory of Lauzon.
Between the end of 1710 and the beginning 1715, the ancestor of Croteau is not any more this world. When is it deceased and in which circumstances? No one does not know it. Its act of burial, if there existed, is lost.
Jeanne Gaudequin deplored this loss during about fifteen years, because it lives until October 1727.
In French
Il semble bien que les Croteau de l'Amérique du Nord ont un ancêtre commun prénommé Vincent. Fils d’André Croteau et de Marguerite Métayer, Vincent a vu le jour le 29 mars 1644, à St-Nicolas du petit bourg de Veules-les-Roses, non loin de Saint-Valery-en-Caux, situé dans l’arrondissement de Dieppe, département actuel de la Seine-Maritime, en Normandie.Arrivé vers 1665 en Nouvelle-France, il exerce le métier de cordonnier. En 1669, il fonde un foyer avec Jeanne Godequin, née vers 1647, fille de Jacques Godequin et Jeanne Dupuis, originaire d’Amiens en Picardie.Le couple a trois filles et sept fils, dont deux nous concernent. Le premier, qui est le quatrième du couple, Nicolas Croteau, né le 29 janvier 1671, à la Côte St-Michel et baptisé le 1er février, à Sillery. Il se mari avec Catherine Mesney en 1709, fille d'Étienne Mesney et ont six enfants, dont Marie-Anne Croteau, née en 1719, qui épouse Jean-François Sévigny, en 1743, fils de l'ancêtre Julien-Charles Sévigny et Marguerite Rognon.Le deuxième fils Croteau, qui nous concerne, neuvième enfant de la famille, Jacques Croteau, né vers 1688. Jacques épouse Marie-Charlotte Dupont, en 1728 et ont seize enfants, dont douze décédés en bas âge, les autres, dont trois fils et une fille fondent des familles. C’est la fille, Marie-Louise Croteau, née en 1733, qui nous lie aux parents avec son mariage en 1750, avec Pierre Houde, dit Desruisseaux, fils de Jean-Baptiste et de Marie-Françoise Demers.L’ancêtre Vincent Croteau, tout en continuant d’exercer son métier de cordonnier est aussi fermier, ce qui, au 17e siècle, signifie défricheur, bûcheron, laboureur et scieur de long.Après avoir vécu une vingtaine d’années à Québec ou dans sa banlieue, Vincent traverse le fleuve Saint-Laurent avec armes et bagages pour s’établir dans la seigneurie de Lauzon.Entre la fin de 1710 et le début 1715, l’ancêtre des Croteau n’est plus de ce monde. Quand est-il décédé et dans quelles circonstances ? Nul ne le sait. Son acte de sépulture, s’il a existé, est perdu.Jeanne Gaudequin a déploré cette perte durant une quinzaine d’années, car elle vit jusqu’au mois d’octobre 1727.
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